OneshotVember 01/11/2023

Allez hop, on y va, en route pour l’aventure! Pour mon premier essai de création d’Aventurine, je vais la jouer conservatrice et relativement simple: je vais utiliser la méthode présentée dans le futur supplément Donjons et Dragons: The Deck of Many Things avec le grand jeu de la connaissance de Maléfices (téléchargeable ici). Quant à l’univers, on verra ce que ça donne à la fin, je compte partir plus ou moins en écriture automatique, et ce n’est pas très important, l’objectif étant d’écrire un trame.

Le Tirage

J’ai tiré dans l’ordre:

  • La Lune Noire
  • La roue de la Fortune en négatif
  • Hypocrate en négatif
  • La Chance
  • L’Artiste en négatif
  • Adam
  • Le Grand Livre
  • Le Juge
L’angoisse est totale pour l’interprétation de mon premier tirage

L’interprétation de chaque lame

Départ de l’aventure

Dans le jeu de la connaissance de Maléfices, La Lune noire représente une forme corruption, qu’elle soit physique, psychique, morale, magique, démoniaque, etc. La Roue de la Fortune représente, hum, disons que cela représente le hasard (le guide d’interprétation de Maléfices est relativement évasif sur cette arcane).

Je vais donc considérer que le groupe de PJ (Personnages Joueurs pour les profanes), se trouvera au mauvais endroit au mauvais moment. Nous attendrons d’avoir interprété chaque arcane pour être plus précis.

Le voyage / l’enquête / l’aventure à proprement parler

Ici j’ai tiré Hypocrate en négatif, mais ne sachant pas si le futur tarot DD possède des versions positives et négatives de certaines cartes, je vais me contenter de me servir de la notion d’épidémie liée à cette arcane.

On peut alors imaginer que les joueurs vont rechercher les modes de propagation de cette maladie, ses symptomes, son origine et éventuellement son patient zéro. De la même manière que l’OMS a réalisé son enquête pour déterminer l’origine de la Covid-19. Mouai… Passons.

Le portail

Oups! Je viens de me rendre compte que j’avais complètement oublié cette étape dans mon tirage AH AH AH!

Une histoire commençant à se préciser dans ma tête, je vais combiner les 3 arcanes initialement prévues pour la confrontation, pour en faire un évènement les menant à la résolution de l’aventurine.

Pour la Chance, au risque de faire en sorte que l’enquête se résolve d’elle-même, j

Source de l’épidémie représentée donc par L’Artiste en négatif. Très évocateurs, je vais considérer que c’est une œuvre d’art: un tableau, une sculpture, une mélodie… Toute personne y ayant été exposée commence à développer des symptômes de plus en plus grave et de plus en plus incontrôlables. J’aime cette idée d’œuvre d’art qui ouvre notre âme, notre psyché sur des dimensions que notre esprit ne peut supporter. Qui n’a pas jamais été hanté par une œuvre: du film d’horreur nous empêchant de dormir pendant des jours, ou de la mélodie dont on n’arrive pas à s’échapper.

Adam va représenter un PNJ (Personnage Non Joueur pour les profanes) de pouvoir, d’autorité, que les joueurs ont peut-être croisé au tout début de l’aventure, un représentant politique, des forces de l’ordre, un notable… Le PNJ peut être une femme ou un homme, peu importe, j’interprète ici Adam comme une figure d’autorité dans nos sociétés patriarcales de merde!

La résolution

Dans la méthode Deck of Many Things, on doit d’abord définir le trésor, au sens symbolique du terme, pas forcément un coffre remplit de pièces d’or. Le Grand Livre peut représenter alors le rituel pour créer l’œuvre en question. Pensez aux Nécronomicon et tous ses ersatz. L’objectif des joueurs devient alors la mise en sécurité ou la destruction d’un tel savoir.

La dernière arcane représente le gardien du trésor que les joueurs doivent affronter pour accomplir leur objectif. Dans le livre de base de Maléfices, Le Juge est considéré comme étant lié à la loi sous une forme ou une autre. Ici, je vais considérer qu’il représente le membre d’un culte, ou le culte entier, qui tente de faire s’abattre sur le monde une sorte de jugement dernier.

L’aventure en quelques phrases

Lors d’une étape d’un quelconque voyage, le groupe d’aventuriers, d’enquêteurs se trouve au beau milieu d’une épidémie. Les citoyens autours d’eux deviennent de plus en plus hallucinés, catatoniques ou encore violents (que soit envers eux-mêmes ou les autres). Déblatérant qu’ils doivent être jugés pour expier de quelconques pêchés.

Ils doivent alors enquêter pour trouver la source de ce mal. Un personnage d’autorité rencontré au tout début, les mettra sur la voie sans le vouloir. Un artiste est arrivé dans la région depuis peu, il passe de village en village pour montrer et vendre ses œuvres: des fresques épiques sur des moments d’histoires ayant toujours un lien avec la notion de justice, divine ou non.

L’artiste se retrouve être un fanatique d’une religion prônant le jugement des infidèles. Il utilise un ancien grimoire qui lui permet, à travers ses peintures, de corrompre les âmes en forçant les spectateurs de se juger eux-mêmes de manières absolues d’après les préceptes disséminés subliminalement dans les œuvres.

L’objectifs des joueurs est donc de mettre la main sur ce grimoire pour soit le m’être en sécurité soit tout simplement le détruire. Bien entendu, si les joueurs ont vu la peinture, ils deviennent de plus en plus corrompus au file de l’aventure.

Conclusion

Si vous savez lire entre les lignes, vous vous êtes peut-être rendu compte que je n’avais pas réellement confiance en ma capacité d’écrire ce Oneshot, ou en tout cas sa trame principale.

Et bien je suis assez satisfait du résultat au final, même s’il m’a pris peut-être trop de temps. Ce n’est pas le scénario le plus original qui soit et je suis sûr que si je réfléchis un peu, je vais pouvoir me souvenir d’œuvres qui traitent ce sujet et sûrement mieux que moi.

Mais l’exercice est intéressant et à mon avis assez concluant.

OneshotVember! Session 0 (you read it here first)

Putain Kate! Qu’est ce que tu racontes encore?

C’est une très bonne question que je me remercie de m’être posée. Suite à ma récente (par rapport au dernier article de ce blog du moins) introduction dans une campagne Donjons et Dragons, je sombre dans la fameuse spirale où j’ai envie de jouer à tout et de tout acheter. Enfin bref…

Après les Swordtember, Inktober et autres Orktober, pourquoi pas OneshotVember? Le concept est de proposer une trâme de oneshot, un personage prétiré ou les motivations de l’antagoniste du oneshot chaque jour de Novembre.

L’idée m’est venue suite à la récente annonce du futur supplément Donjons et Dragons: The deck of many things qui montre une façon de créer des aventures à la volées, de ma récente acquisition du tarot du jeu Maléfices (téléchargeable en pdf ici), de mon penchant pour les systèmes de système et bien sûr de mon fantasme moite et inassouvi de maitriser des parties de jeux de rôles.

Annonce (compte double): je me connais, il est très peu probable que je tienne sur la longueur de ce défi personnel. Vous n’avez qu’à voir les promesses, intention et constance de publication sur ce blog.

Je n’ai bien entendu rien préparer, n’ai aucune expérience de création de scénario, un passé de personnages crées avec un historique ayant du mal à remplir un post-it et démarre cette aventure la fleur au fusil.

Pour ce faire, n’attendez pas une liste de « prompt » spécifiques à suivre, je vais improviser avec mon tarot Maléfices, des dés polyédriques classiques, des cartes à jouer et des story dice. On verra où tout ça me mène et avec un peu de chance, cela va muscler mon muscle de la créativité.

Allez, on va se dire quand même que cette idée m’aura au moins fait écrire un article, le premier depuis… un bout de temps.

Yé vais vous faire un tour de cartes. Yi yi yi!

Après le moine cliché, attaquons nous à un personnage mini-maxé d’un point de vue RP.

Rien n’existe, tout n’est qu’illusion

Dans le cas présent, l’origine du personnage vient de la lecture des différents sorts existants dans la 5ème édition de Donjons, et là où je trouve l’école de transmutation bien cool, mon esprit s’est arrêté sur l’école des illusions pour son potentiel de résolution de situation par moyens plus que détournés.

Être le petit fils de Garr’is Mohr

Alors là, on ne va pas se le cacher, même si le MJ peut s’amuser un poil avec ce que je vais écrire, c’est vraiment un prétexte foireux pour justifier l’école de magie en question.

Le personnage serait l’apprenti d’un grand mage illusionniste excommunié / banni / rejeté par une quelconque université de magie pour une raison encore plus obscure au bon vouloir du MJ. Son bannissement a-t-il été du par ses insupportables blagues, a-t-il été cleptomane une fois de trop, aurait-il cocufié l’administrateur de l’université lui-même, a-t-il été le bouc-émissaire d’une sombre histoire magico-politique? Nul ne le sait sauf le potentiel MJ le jour où il décidera de s’en servir.

Bien entendu, nul dans son entourage ne connait les raisons de son exil, ni même encore l’étendue réelle de ses pouvoirs d’illusionniste. Il est même fort probable que ceux ignorant sa véritable identité le considèrent simplement comme un vieux fou.

Le personnage peut être son petit-fils biologique, d’adoption, juste un gamin paumé du village ou encore un jeune du race conspuée dans la région.

A l’inverse du personnage de moine naïf décrit plus tôt, lui a été élevé dans l’idée que rien ni personne n’était ce qu’il semblait être, que tout était illusion à divers degrés et que la duplicité était le seul moyen de survivre en ce bas monde.

Illusions et tromperie

En terme de compétences, on est dans une seule et unique école de magie et dans la caractéristique de tromperie augmentée le plus possible. Toutes les autres caractéristiques étant absolument accessoires et bonne pour les bon gros bourrins qui joue à Counter strike.

Je me demande même si le personnage gagnera un jour un seul sort d’attaque. Une bonne piste à creuser.

Idée bonus: utilise-t-il le sort d’illusion permettant de changer d’apparence constamment de telle manière que personne ne sait vraiment quelle est son apparence ni même sa race d’origine? Y compris les autres personnages du groupe.

Conclusion

Alors oui, pas un personnage très profond, mais je vois en lui un énorme potentiel en jeu. Que ce soit en ou hors combat. Et autant à jeter des sorts sur ses adversaires que sur les autres membres du groupe.

Quant à ses motivations… Là… les connait-il lui-même? TIN TIN TIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIN!!!!

Ohmmmmmmmmmmmmmmmm

8 ans, 27 mois, 73 jours et 55 heures après la rédaction du dernier article, me revoilà pour un article qui s’écarte un peu, voire totalement, de la peinture sur figurines. En effet, je vais mettre sur papier virtuel, 2 idées de personnages Donjons et Dragons qui me trainent dans la tête depuis quelques temps.

Ce qui m’amuse dans cette histoire, c’est que je n’ai jamais au grand jamais vraiment travailler sur les histoires de la poignée de personnages que j’ai pu jouer dans ma maigre carrière de rolliste, 5 si ma mémoire ne défaille pas trop. Ma construction de personnage s’étant toujours limitée à vaguement le look et le choix de la classe de personnage. 1 seul sort vaguement du lot, mais là encore, ça a été plus une justification des choix de compétences du personnage, l’histoire elle a été 80% définie par mon cher Bernard-Henri Lavis ici présent.

C’est donc la première fois que j’ai réfléchi à l’histoire de personnages de jdr. Alors soyons bien d’accord, tout est parti de la classe de personnage, mais mon esprit est parti un peu plus loin cette fois, sûrement influencé par mes récents copains de JDR.

Si vous êtes bien préparés à être déçu, à lire des histoires qu’un adolescent de 14 ans rejetterait tellement elles sont convenues, c’est parti!

Chaussée aux moines

N’ayant joué qu’à la deuxième édition de Donjons, c’est avec surprise que j’ai découvert qu’aujourd’hui les classes avaient chacune leurs mécaniques propres. Dérivant sur les classes, mes yeux sont tombés sur la classe de Moine, qui m’a fait furieusement pensé au personnage du moine de Diablo 3.

Définissons sa personalité

Qui dit moine, dit monastère. Et pour ne pas me faire une foulure neuronale, j’imagine le monastère dans lequel aura vécu mon personnage comme un monastère tibhéto-kung-fuien dans ce qu’il a de plus cliché dans notre inconscient collectif.

Ce contexte aura pour raison principale de justifier les grands traits de sa personnalité et de son rapport au monde.

Détachement matériel

Le cliché du détachement matériel dans sa version la plus pure de lycéen en première L. Le personnage ne comprend pas vraiment le concept d’argent, et échange son temps, ses compétences, ses « bras » contre un toit et du pain, étant conditionné depuis l’enfance à travailler pour la communauté.

Cela peut, je pense, entrainer quelques quiproquo et scène bien débile dans un groupe s’il offre les services du dit groupe pour rien.

Naïveté et foi dans les autres.

Encore un bon gros cliché: le pécore qui n’a connu que son monastère perdu dans la pampa et qui ne comprends pas vraiment que les autres puissent mentir et avoir des intentions cachées.

Encore une fois, cela peu amener des scènes bien débiles et mettre le groupe entier dans des positions fâcheuses. La possibilité de le faire succomber aux charmes de n’importe quelle femme fatale de la campagne peut engendrer des situations et des choix problématiques pour le groupe entier. A voir comment le MJ veut se servir de cela.

Ascétisme et compagnie

3ème et dernier gros cliché des familles: les moines, c’est bien connu, se contentent de peu. A voir avec le MJ bien entendu, mais l’idée est que le personnage n’ait pas besoin de manger des tonnes de barbaque pour être en forme. Principalement des graines à l’instar d’un certain maitre d’armes que je ne nommerai pas.

Parlons un peu de son passé

Alors là les filles (car pourquoi ne pas casser le réflexes de dire « les mecs »?), accrochez vous, car il y a du bon gros cliché fantasy qui tache. Annonce compte double!

<insérez nom> : origins

Fils (et pourquoi pas fille d’ailleurs?) de pêcheurs dans un village côtier un rien perdu, c’est à 4 ou 5 ans qu’il a été témoin d’un raid d’esclavagistes qui a complètement décimé le village, les habitants ayant été soit été pris comme esclaves soit simplement tués.

Il n’y a échappé que grâce à sa sœur / son frère (jumeau ou grand.e) qui réussit à le cacher au dernier moment mais, se faisant, s’est fait.e elle/lui-même enlevé.e.

Une fois le raid terminé et avoir beaucoup pleuré bien entendu, il est parti dans une direction au hasard bien entendu, s’est perdu bien entendu, s’est retrouvé dans une montagne enneigée bien entendu et à été sauvé.e et recueilli.e par des moines du monastère bien entendu.

Par un évènement / un choix à définir qui n’a pas vraiment d’importance, elle/il décide de partir à la recherche de sa sœur / son frère.

Alors, j’avais pas raison? AH AH AH En plus Annonce compte double!!! Putain je suis trop fort!

Ce que le MJ peut en faire

Derrière ce mille-feuille de clichés plus convenus les uns que les autres, je pense que cela peux donner quelques pistes sympa au MJ:

  • Le jumeau maléfique cherchant à se venger à cause de sa longue vie d’esclave
  • La soeur / frêre vaguement maléfique ou du moins endoctriné.e au point d’être devenu.e un.e lieutenant/capitaine/on s’en fout (ou carrément la tête pensante) d’une des factions antagonistes au groupe. Pouvant ou non chercher la rédemption après avoir retrouvé le personnage.
  • La soeur / frère assassiné.e entrainant le personnage dans une quête de vengeance
  • J’en sais rien moi, je ne suis pas MJ, qu’ils se demmerdent pour trouver un truc cool.

Conclusion

Derrière cet amas de cliché, je pense que ce personnage peut engendrer des situations RP bien débiles, lesquelles, on ne va pas se le cacher, sont les moments les plus mémorables des jeux de rôle, bien plus que n’importe quel jet de dés.

Rendez vous très bientôt avec un deuxième personnage dont l’unique but semble être justement de créer des situations débiles.

Comment j’ai hâte de ne pas les jouer…

Mythic Battles: La boite de base enfin finie

Sans même parler de la rédaction de cet article écrit bien après la bataille, j’en aurais mis du temps à peindre la boite de base de ce Kickstarter. Entre plaisir de peindre et doute, c’est avec satisfaction que je peux enfin poster l’ensemble des figurines de la boite de base.

Les dieux

Les monstres

Les Héros

Les troupes

Il n’y a plus qu’à jouer maintenant…

Oh yeah please, backstab us! (an AnimosityII short story)

« Yeah, sure, whatever », these are the last words Valdyr the hollow guide said to his peers at the last « strategic meeting » (another « good idea in his opinion), before he and the main forces of the Stifling procession left to Tsatraya.

It went as always, first it was decided that we shall continue the truce with the Expedition meatbags, the traitor god’s zealots. As much as he hated to let those souls alone, Valdyr had to admit that this pact worked rather well since the beginning and that it always was beneficial to the Perpetual and even let the concentrate their force on the other coalitions.

Then, the daemonic cold blooded reptilians explains in Nagash knows how many ways, that The Perpetual should focus on the Soulmuncherz as Zectoka, their daemonic amphibian master, says. And whatever your arguments are, it always concludes like that with them « we will follow Zectoka orders and you will too ». It is in those too rare moments that Valdyr can laugh naturally, thinking that all the one to to Nagash always think they are superior to the legions of Nagash because we are bound to his will, when they are just following orders to their multiple gods orders like the good soldiers they are, with absolutely no free will. Hey, at least they will all make good skeleton warriors in the end.

But this was just the usual annoying reptilian so-called strategy, the worst was yet to come and left Valdyr speechless (not that he was volubile). It came from Ashavohlk, a vampire lord. That Reikenor accepted those treacherous cold blooded meatbags was something that Valdyr never understood. How could he trust the cousins of Neferata and Vlad Von Carstein? That we allied with the reptiles, ok, why not. But Soulblights? Was Reikenor so desperate?

So Ashavohlk entered in the meeting room, bombing is torso as always, with a satisfied smile on his treacherous face, and he said proudly to Kroqaqu-Cotiq and Cueyatl: « It is done, I made the pact of non agression with them, so we can all concentrate on the ur-whale carcass! ». Everyone in the room seemed satisfied, except maybe Signy Myzlan, the Idoneth, who might have known what was this pact about.
Valdyr could not take it anymore and asked through a long chilly whisper: « Another deal?! With who? Because I don’t remember the last one went very well for us and especially for you corporeal lot. ». Obviously annoyed, Ashavohlk, relied shamelessly « A non-aggression pact! With the Wretched. We don’t attack them so they can concentrate on those treacherous Pilgrimage, and they don’t attack us so that we can concentrate our efforts against the Soulmuncherz. This is a great opportunity for us. But once again, I guess you will complain over and over again like a banshee, won’t you? ».

One day, Valdyr knew he will kill him. Him and all the Soulblights. Not that there were many of them left anyway. The purge will be a good thing for the Legions of Nagash. He knew it. Still, Valdyr feared that in the future, Nagash will call them, or even create new ones. And it will end as always, with a knife in the back. This was the Soulblight nature after all.

Valdyr had a difficult time processing the information. A pact with the rodents, the beasts and the zealot of the minor gods. He first thought that it was a joke. A very bad one. But he soon realised that no one really reacted. Everyone knew, and yet no one told Valdyr. He hated them, even more now if it was even possible. He told them that the rodents will betray them, and not in a small way, even more than the Pilgrimage meatbags. But no, they did not listen. And before Valdyr could ask about the Bonefleet of Nuyra, the cold blood deadmeatbag said « And we are also sending the whole fleet against the Soulmuncherz » with a sardonic smile. Valdyr stayed silent a long time and watched each of his peers. To the point that some of them looked away. And he left.

He went to talk to Reikenor. It did nothing. Nothing but increasing his hatred of the « living », if we could consider the Soulblights and the Seraphons as living beings. At least he had the benediction of Reikenor to go and observe the Wretched to be sure they will respect their part of the deal. Valdyr knew that in trying to mitigate the Wretched treachery, his Stifling procession will take a huge hit when, and not if, the rodents will attack in numbers. He could already see it. But who was he to discuss Reikenor will? At least he was questioning, trying to understand the figure heads plans, unlike some others….

So they left, his Stifling procession and Signy Myzlan Idoneth deepkin army. Signy Myzlan’s goal was to harvest as many aelven souls she could to summon an aspect of one of their dead god. Valdyr did not like the Idoneth, he did not really anyone in fact, but at least he find someone who agreed with him, who was against this pact. So they went to Mount Nagas ‘ua. And when Signy Myzlan gathered all the souls she could, she looked at Valdyr with what he guessed was sadness more than pity, and then turned back to Go the ur-whale carcass. Not that securing the ur-whale carcass was a bad idea, but the effort was disproportionate, and left their back with a giant target, doing half the work of the rodents in doing so. This sure won’t end well.

But Valdyr had a plan, not to win because he was sure the Wretched will overwhelm the Stifling procession, but to maximise their loss. He spent a lots of time summoning them. They were 3. It was demanding. First, the Mortalis terminexus, which could reinvigorate his Nighthaunt hordes or accelerate the aging of the enemy at his will. Then, the Shyish reaper, the perfect tool to kill the thousands of skavens which will run around everywhere. And finally, the Vault of souls. This will be his personal touch. He will place it as inactive where it will be visible on the path from their camp in Mt Nagas ‘ua to their treachery. He knew the skavens will look at it with envy, believing the vault might have some lost artefact that could help them becoming chief instead of their chief. It will be their downfall. Valdyr will activate the Vault of souls when it will at the exact center of their force, with maximum rodents to kill, empowering it even more and disorganising their army. Then he will send the Shyish reaper and make the Stifling procession attack from the underworld. He will break their lines, he might even make so much damage that they will flee, the rodents, the beasts and the tainted humans. He will make them taste fear. The primal feeling, the only feeling that matters.

And Reikenor will see. They will all see. That Valdyr the hollow guide was right. That the Wretched can not be trusted. Even if to prove his point, he might have to push a little. Just a little push. Almost nothing. And behind his mask, Valdyr smiled. « Yes. Just a little push. Almost nothing. »

Pseudonyme’s Squig and turnip stew (an Animosity II recipe)

Ingredients

  • 1 gargant hémorroïd (also called onion)
  • 1 grot kidney (also called garlic)
  • 1 small squig or half a big squig (also called pumpkin)
  • 200ml of Melusai milk (also called coconut milk)
  • Aqua ghiranis (also called water)
  • 2 table spoon of Chamon spice (also called garam masala)
  • 1 big Kurnoth Hunter nose (also called sweet potatoe)
  • 3 turnips (more or less the same quantity as the nose)
  • The tip of a knife of aqshian sweets (also called Chili pepper)
  • Fresh Shyish only plant (also called coriander)
  • Snotlings’ phalanxes (also called peanuts)
  • Ogor sweat

Recipe

  1. Brown the gargant hemoroid, the grot kidney, the Chamon spice in 2 tablespoon of Ogor sweat in your mawpot
  2. After cutting the squig, the Kurnoth Hunter nose and the turnips in large dice, with a scrap launcher, catapult all of that in the mawpot. Cook them with Aqshy fire for 5 minutes. Do not forget to mix the ingredients.
  3. Toss the melusai milk, the Aqshy sweets and pour the aqua ghyranis so that it just covers all the ingredients. Let it stew for 20 to 30 minutes
  4. When serving, sprinkle some Snotling’ phalanxes and fresh Shyish only plant
  5. You can also serve this stew with Ironjawz bravery or honour (also called quinoa or rice)

And they will know fear… (an Animosity II short story)

Reikenor called him. Asking him to come through the underworld. He told him that the Wretched, a coalition composed of rat men, beasts and devotees of the false gods, were trying to take control of 3 Realmgates: Kyady’s gate, the Stairs of Nyura and Crom’s canyon. Reikenor needed Valdyr and his Stifling procession to secure one of the Realm gate.

Valdyr knew that most of the forces from The Perpetual were fighting for the Cathedral of the Mariner. He was confident that The Perpual will overcome the devotees of the false gods and their daemons. Between the other Nighthaunt processions, the Ossiarch Bonereapers phalanxes, the Seraphon and, for sure, the Bleak Chewers. Gorogark had a simple plan which seemed effective, the main force of the Bleak chewers would go underground, chewing the earth, to appear in the middle of the Undivided back line. They were accompanied by a handful of Myrmourn banshees to take care of the false gods sorcerers. Valdyr was sure the plan went well. What could have happened?

Valdyr choosed Crom’s canyon as his destination. First, it was the closest. Second, he knew the Midnight city were heading there, their artillery will be precious in this attrition war against the Wretched, to decimate or at least disperse the hordes of Skaven and Beastmen. Those abominations were always appearing in thousands, which always make them difficult to contain.

But the Midnight city won’t be the only ones with a great tool to fight the hordes. Valdyr also had a powerful tool. Maybe the most powerful tool of all: he knew how to summon the Purple sun. It was Reikenor who taught him at the beginning of the conflict. He told Valdyr to summon it when needed, as endless spells can become wild. But it won’t happen to the Stifling procession. Valdyr was sure of that. He was an high priest of Nagash in Tsatraya. So long ago. Eons ago.

And then came the time of the battle. To ensure Crom’s canyon stayed under The Perpetual control. To ensure that the coalition will have its approvisioning line. The canyon was already swarming with Skavens and Beastmen. They were everywhere. Valdyr unfolfed the usual Stifling procession strategy; the combination of a brutal frontal attack and guérilla tactics from the underworld. The front line will be a combination of Chainrasps, Spirit hosts and Grimghast reapers, backed by Spirit torments, to be sure replenish the lines, even with those fouled souls. They will advance, relentlessly toward the enemy. They have to see them. To understand what is coming. What they have to face.

Himself and his executioner Klosyom the hollow exile, will appear in the middle of their lines, to strike, disappear and strike again. The Myrmourn banshees taking care of any sorcerer, cutting all their magical support. Glaivewraith stalkers will harass their distance fighters, their artillery and their behemoths. Klosyom will execute their lieutenants. Every single one of them if he has enough time.

Valdyr will appear behind their strongest line and will unleash the Purple sun. To break them. To teach them that they should not have crossed The Perpetual path. They will face his wrath.

And they will know fear…

The hunt (an Animosity 2 short story)

Valdyr the holllow guide share chainrasps and myrmourn banshees to Gorogark, the tyrant of the Bleak Chewers, to give him enough forces to attack the forces of the false gods at the Cathedral of the Mariner. Himself had other plans. He gathered his Glaivewraith stalkers, his Grimghast reapers and Klosyom the hollow exile, his Executioner. Then, he went hunting, and guide the others from The Perpetual to his prey.

Mithridates Besh. The priest-king. Once one of the first devotee to Nagash. Now, something else. No knows who he is worshipping now, what are his plans, what are hies goals. The only thing everyone agrees on: whatever Mithridates Besh is doing, he must be stopped. Reikenor the Grimhailer and Slann Starmaster Zectoka know it is the safest path in this dire times in Shyish.

Valdyr, his retinue and Kobatu Redguzzler, the hunter from the Bleak Chewers, spent weeks advancing through forests, swamps and mountains until they arrived in the ruins of Tsatraya, where Mithridates Besh should be. The more they were getting close to Tsatraya, the more they encountered Grots, Orruks and Ogors. One thing strange, they banded with Idoneth deepkins. The blind aelves who steal souls from Nagash. So they killed Grots, Orruks, Ogors and Aelves. And as agreed, Valdyr share the dead with Klosyom, for him the souls, for the Ogor the corpses. They killed so many while looking for Besh.

Besh who was hidden behind Aelf magic. Each time the Ogor hunter found a trail, the trail disappeared. The constant fights against the Soulmuncherz did not help. They had to find him. Too much was at stake. But Valdyr was confident. It might not be today. Not tomorrow. But he knew they will find him. He knew the hunter will find him. He knew his Glaivewraith stalkers will never tire and get to him. He knew Klosyom will give him the final blow. It could not be otherwise. They were The Perpetuals. And no one escapes death.

The deal (The stifling procession prologue)

It all started with an Ogor. Walking toward Valdyr the Hollow Guide. Carrying 3 aelves, the ones who see with no eyes. The ones who are stealing souls from Nagash. It was so strange that Valdyr’s retinue let the Ogor walk through them. The 3 aelves were in fact a proof of good will, an offer, a bargain.

The Ogor came in the name of Gorogark, his general, or at least the closest thing to be a general in the Ogor culture. He was proposing an association, for them the flesh, the bones, in fact anything that they can eat. For the malignants, the souls. All the souls that were stolen from Nagash. Valdyr accepted the deal. He took the 3 aelf tainted souls, and let the Ogor take back the corpses. This is how The Stifling Procession banded with The Bleak Chewers.