Konrad de Larethia

Aventurier, Guerrier, prince, renégat, il a vécu plusieurs vies, défendu nombre causes, et trahi d'autres. Considéré par certains comme l'un des plus grands combattants du monde connu, d'autres le haïssent comme un allié sur lequel on ne peut compter, certains comme un ennemi à abattre. Lui ne dirait qu'une chose… Ou plutôt deux, en fait : "Les seules leçons à retenir, sont les leçons de ceux qui sont encore là pour les donner". Et, "Si ça a une AC et des points de vie… Ça peut mourir".
Rebuté par la vie sédentaire de ses "parents" adoptifs, des tenanciers d'auberge. Sous prétexte de rechercher une sœur disparue, Konrad embrasse assez jeune la carrière d'aventurier. De culture teutonne, bien que ses origines soient autres, il sillonne l'empire et subit nombre déconvenues en compagnie d'aventuriers peu recommandables avant de se lier à une combattante maniant l'épée à deux mains avec la même subtilité. Ensemble, accompagnés d'un paladin, ils survivront aux nombreux déboires qui écourtent souvent les vies des aventuriers débutants d'une bonne tête. Il se lie ensuite à un groupe d'individus dont les hauts faits placeront certains à la tête de royaumes quand d'autres sombreront dans des débauches de pouvoir, l'anonymat ou la boisson pour les aider à oublier. Cette association durera de nombreuses années au cours desquelles il accueillera l'esprit immortel du prince Lanceor d'Eriador jusqu'au "jour funeste" où il leva la main contre sa fratrie.
Épouse : Dame Pellanistra Eylservs de Larethia
- Enfants : Alestrel (M-960 né en ZNT)
- Hiriniel (M-963 né dans le Phlogiston)
- Sehanine (F-969)
A compléter
La fin des temps[modifier]
Zone de non-temps
"... Quand approche un homme dans la force de l’âge et de haute taille qui se déplace avec l’assurance et la lassitude de ceux qui ont été rudement éprouvé par la vie, y ont survécu et s’apprêtent à défendre la leur à chaque instant. Il émane de lui comme une aura de puissance destructrice qui ne demande qu’à s’exprimer. La peau tannée par la vie en extérieur, les cheveux négligés poivre et sel, et un semblant de décontraction générale n’atténuent en rien la sensation de malaise quand on croise son regard de cendre ou perce une trace de violence animale. Le regard d’un homme qui a dépassé sa folie.
Il est vêtu sobrement à la manière locale de vêtements amples et sombres mais certaines pièces d’équipement de grande valeur, usagées, témoignent d’une vie aventureuse dans des contrées moins désertiques, voir tempérées. Un sac de voyage passé négligemment sur l’épaule avec une magnifique épée à deux mains elfique, il arbore un petit symbole religieux de Tzaly ou celui d’une divinité depuis longtemps oubliée : un croissant de lune bleu.
Dans sa main gauche, une rose, noire comme la nuit.
A ses côté, un étalon de Combat réellement impressionnant qui ne ressemble à rien de connu. Sa taille et sa corpulence l’apparentent à un coursier lourd même s'il se déplace avec une aisance manifeste. Et l’on ne saurait dire ce qui choque le plus, de sa couleur améthyste sombre, ses ailes puissantes ou sa corne frontale... Ce qui choque le plus, au final, est sans doute son regard calme où pétille une intelligence inhumaine."