Notre-Dame de l'Aube

De gahan
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Notre-Dame de l'Aube, vers 830

Situé dans l’est de l’Empire, le couvent de Notre-Dame de l’Aube Céleste administre depuis plusieurs générations des terres octroyées par une ancienne duchesse de Murline à quelques lieues d’Arenberg. Les quelques arpents de terres cultivées par les familles de métayers subviennent maigrement aux besoins de la communauté. L’essentiel des revenus provient d’une part de la taxe sur un pont à péage, et des prises de guerre. C’est un ordre combattant, de ceux dont la méditation sert à marteler la foi dans le cœur et le crane du mécréant à l’aide de bon acier béni, et si possible enchanté. Sans suivre les préceptes d’une idéologie particulière, les doctrines de la foi laissent à entrevoir des inclinaisons pour le culte de Teaphranerys.

Le couvent en lui-même est bas et austère, simplement fortifié et ceint de murs hauts. Rien qui ne saurait réellement arrêter qui se donnerai les moyens d’y pénétrer, mais pour des gains minimes car la vie y est sobre et les richesses employées ailleurs. L’endroit compte certes des jouvencelles, mais fermement défendues par leurs ainées. La chapelle, cœur de l’édifice, est surmontée d’un clocher massif pouvant sans aucun doute tenir lieu de donjon. Directement adjacent et entourant la cour cérémonielle, le cloitre intérieur donne accès aux principaux lieux de vie communautaire et d’étude des quelques quatre-vingt sœurs. Le cloitre extérieur accueille le terrain d’exercices, le carré de simples et les jardins de méditation. Quelques dépendances, hospices, armurerie et une modeste écurie complètent l’ensemble. Un érudit s’apercevrait pourtant que l’architecture sobre n’a rien à envier à une place forte, les possibilités défensives sont nombreuses et faciles à mettre en œuvre avec une économie de combattantes. Un ouvrage sachant se défendre, si ce n’est conçu pour la guerre.

Quelques visages vers 971[modifier]


Les vierges à l'épée[modifier]

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