« Elara » : différence entre les versions

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== Enfance ==
Elara a vécu dans les environs de Windmere dans un village de fermiers. Son grand-père était le sourcier du village. Elle voyageait régulièrement avec lui dans les environs car il voyait en elle les mêmes pouvoirs dont il avait hérité.
Deux fois l'an, elle montait à la capitale pour voir ses cousins et aider ses parents à faire du commerce aux diverses foires.


== Le jour des cendres ==
== Le jour des cendres ==

Version actuelle datée du 14 décembre 2025 à 14:48

Elara
Elara-1.jpg
(Personnage)
Race
Humain
Classe(s)
Sorcerer
Alignement
Neutral Good
Naissance
961
Niveau
2
Campagne(s)
Joueur
Anthony


Enfance[modifier]

Elara a vécu dans les environs de Windmere dans un village de fermiers. Son grand-père était le sourcier du village. Elle voyageait régulièrement avec lui dans les environs car il voyait en elle les mêmes pouvoirs dont il avait hérité.

Deux fois l'an, elle montait à la capitale pour voir ses cousins et aider ses parents à faire du commerce aux diverses foires.

Le jour des cendres[modifier]

Les cris. La poussière. Les pleurs. Le feu. Les râles. L’obscurité… Et les cendres ! Les cendres qui tombent en silence sur les ruines de la forge d’Alric.

Elle se souvient des odeurs.

De la bière renversée et de la viande brûlée. De la pierre chaude qui éclate. Et surtout, cette odeur âcre, sucrée et métallique, qui n’avait rien de naturel, qui venait du ciel. Une odeur de foudre qui tue.

Elle se souvient des mains.

Les siennes, qui se sont refermées sur le frêne usé, comme pour une prière. Celles de Darren, qui l’ont saisie par l’épaule pour la tirer des décombres. Le grain du bois sous ses paumes, qui n’était plus froid, mais vibrant, chantant d’une vibration qu’elle portait en elle depuis toujours. Elle se souvient du chant.

Pas celui, doux, des veines d’eau sous la terre des Terres Grises. Celui-là, elle l’aurait reconnu. Non. Celui qui est venu était un hurlement silencieux, un accord unique et parfait déchirant le ciel, suivi d’un silence de mort. Le silence après la note qui brise le verre.

Elle se redresse. Les cendres lui collent à la peau, piquent ses yeux. Elle s’appuie sur son bâton.

Le monde n’est plus !