Journal d’Alabarad
Journal d’Alabarad
Grosse bagarre avec quelques géants, dont nous sortons vainqueurs. Comme c'est un peu trop le bordel avec les dragons autour de la forteresse centrale, on essaie de se trouver un coin peinard pour se reposer. Une grotte fait tout à fait l'affaire. Enfin semble faire l'affaire, car après quelques instants, nous sommes pris en embuscade par un dragon bleu et une sorte de putain de dragon d'ombre. Une belle merde qui draine la force vitale (STR & CON) ce qui rend le combat vraiment très difficile. Mais malgré ces difficultés, nous nous en sortons (à peu près). Nous espérons toujours trouver un moyen pour nous reposer (enfin surtout les lanceurs de sorts car moi ça va à peu près bien) et pendant la conversation, Abu prend la parole et affirme qu'il peut nous mener à un lieu où nous serons en sécurité pour nous reposer. Donc en gros on le suit et pouf tout le monde est bien content de pouvoir se reposer.
De retour au vault, comme on a les 2 clefs, on fait tout ce qu'il faut et on n’y va pas avec le dos de l'épée à deux mains pour détruire le phylactère de Dragotha (merci Agwa et sa force phénoménale !). Mais bizarrement Brazzmal survient (haha comment ce n’était presque pas trop une surprise) et liquéfie purement et simplement un énorme coin du vault en soufflant dessus. Ce n’est vraiment pas passé loin qu'une bonne partie du groupe y passe (pour une fois que les murs de force servent à quelque chose...). Théodoric et Agwa s'occupent proprement du gros dragon rouge, qui malheureusement tombe sur un paladin mal placé. La faute n'a pas de chance. Les voies de Nikadema sont impénétrables ma foi.
Décision est prise de se rendre à la Faille, pour confronter Dragotha et finir notre quête (car c'est là-bas que certains pensent qu'iel se terre). Un crochet par Tiplicanne pour emplettes est cependant marqué. Je suis persuadé que Agwa en a encore profité pour aller aux putes.
L’exploration de la faille s’avère difficile car il y a du brouillard très dense partout mais l’un d’entre nous est soudainement attiré par un endroit. Nous pénétrons dans une forteresse accrochée au flanc d'un énorme piton rocheux qui dépasse du tapis nuageux environnant. Il s'avère que c'est une sorte de laboratoire ou maître Tessalar y conduit nombre d'expériences très peu recommandables (voir carrément dégueulasses). Notre hôte fortuit étant une liche, fidèle à leur lâcheté incontestable, se tire ailleurs (bon, on a essayé de discuter, mais le sang de Théodoric n'a fait qu'un tour dès qu'il l'a vu). Plusieurs abominations « Thessa » créées par la liche (dont c’est la spécialité) dont notamment celle qui était contenue dans la cuve ont été tuées par le groupe.
L’aimant psychique nous conduit alors vers un autre lieu étrange : une magnifique tour en cristal. Super bizarre. Je ne sais pas trop ce qu'il se trame mais ça me pète vite les couilles, vu qu'un des paladins fait le beau en faisant croire qu'il sait bien danser. Ça me fait bien rigoler de voir une boite de conserve se croire élégante. Mais comme c'est semble-t-il pour la bonne cause, je laisse pisser pour cette fois. (Et puis les paloufs de Théaphranerys, on ne peut pas vraiment dire que ce sont les briques les mieux taillées et polies du mur...). La babiole et quelques informations récupérées, on se remet en route vers l'endroit supposé du repaire de Dragotha.
Suite du résumé plus neutre : L’aimant psychique conduit ensuite le groupe vers un réseau d’immenses grottes. En explorant les galeries, les héros évitent précautionneusement des grottes remplies de scorpions et centipèdes gigantesques. Mais lors d’un détour ils tombent dans le piège d’une entité unique : N’Vesh N’Kar, un puissant Ulgurstasta : race de créatures créée par K lui-même et qui absorbants des vivants étaient capables de générer des morts vivants par dizaines. K avait remarqué que les Ulgurstasta conservaient une partie de l’intelligence des créatures absorbées, il décida donc génération après génération d’ne faire de puissants serviteurs. Le combat avec l’entité est de proportions épiques, les sortilèges pleuvent et le groupe se retrouve bientôt encerclé par les scorpions géants et les centipèdes. La robe de métal vivant de N’Vesh N’Kar fait des ravages mais le combat prend bientôt un tournant décisif pour les héros, et privée de ses sbires l’entité redoutable s’enfuit. Le groupe découvre un trésor caché et alors qu’ils se préparent à repartir en expédition se produit un évènement très inattendu…
Suite du résumé (plus neutre) : L’aimant psychique conduit ensuite le groupe vers un réseau d’immenses grottes. En explorant les galeries, les héros évitent précautionneusement des grottes remplies de scorpions et centipèdes gigantesques. Mais lors d’un détour ils tombent dans le piège d’une entité unique : N’Vesh N’Kar, un puissant Ulgurstasta : race de créatures créée par K lui-même et qui absorbants des vivants étaient capables de générer des morts vivants par dizaines. K avait remarqué que les Ulgurstasta conservaient une partie de l’intelligence des créatures absorbées, il décida donc génération après génération d’ne faire de puissants serviteurs. Le combat avec l’entité est de proportions épiques, les sortilèges pleuvent et le groupe se retrouve bientôt encerclé par les scorpions géants et les centipèdes. La robe de métal vivant de N’Vesh N’Kar fait des ravages mais le combat prend bientôt un tournant décisif pour les héros, et privée de ses sbires l’entité redoutable s’enfuit. Le groupe découvre un trésor caché et alors qu’ils se préparent à repartir en expédition se produit un évènement très inattendu…