Sucrelune

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Sucrelune

Le sucrelune, sucre de lune ou Je’m’ath en Ta'agra (Tabaxi) est une substance originaire de la Forêt des pluies dans le sud de Harypt. Il se présente sous la forme d'une poudre blanche constituée de minuscules cristaux, et raffinée depuis les jus extraits d'une certaine variété de canne à sucre présente sur les côtes et nombreux estuaires de Harypt. Elle est potentiellement dangereuse et agit comme une drogue que les Tabaxi, qui y sont naturellement plus résistants, consomment fréquemment. Il leur est inoffensif et sert à rassasier leur goût pour les sucreries. C'est d'ailleurs sa fonction première.
Le Sucrelune et ses dérivés sont illégaux dans la plupart des royaumes, en particulier celui d'Eriador ou dans l'Empire de Mahr. Et de nombreux marchands refuseront de commercer avec quiconque en possède. S'il est répandu en Harypt, et généralement toléré au sein des Califats, ceux-ci sont aussi connus pour prendre des mesures ponctuelles si nécessaire. les transactions se font donc rarement au grand jour. Katapesh est l'exception et constitue la principale zone d'exportation vers le Grand Continent. En revanche le sucrelune, dans un usage contrôlé, est légal dans de nombreux domaines elfes.
Un narcotique dérivé du sucrelune et aux effets plus prononcés a été élaboré, le Skooma.

Origine

La croyance Tabaxi veut que le sucrelune soit le reflet de la "lumière des lunes" cristallisée qui est capturée par les eaux et transférée à la canne qui pousse à proximité des rives lors des marées jumelles. Ils y voient la bénédiction que le Seigneur Chat offre à son peule. La lumière des lunes illuminant les terres de Harypt se serait changée en sucre que Azura, l'aube et le crépuscule, a révélé être le Troisième Secret au premier Tabaxi de Gahan. Mys'thar, la divinité de l'ordre cosmique des Tabaxis est aussi surnommé le "Dieu du Sucre".

Usage

Même si le sucrelune est une drogue, les Tabaxi l'utilisent dans des plats sucrés de leur alimentation traditionnelle, comme les gâteaux, tartes ou bonbons. Les humains qui sont plus sujet à ses effets doivent se méfier de la nature des plats Tabaxi, en particulier des desserts. Il est utilisé comme ingrédient mystique pour la communion avec les Lunes et les visions qu'il apporte. Consommer le sucre est pour les Tabaxis une forme de communion, comme de consommer de petites portions de leurs dieux à l'âme éternelle.
Il est également possible, en le mélangeant à divers ingrédients, d'obtenir du Bleu d'Harypt.

Skooma

Il semblerait que le skooma ai été initialement conçu et perfectionné par les elfes sauvages pour des rites shamaniques ou initiatiques. Il s'agit essentiellement d'un mélange de sucrelune et d'obscurine. Depuis, cette drogue s'est largement diffusée à travers tout le continent et même exportée.
Il est traditionnellement fumé dans des narguilés ou bu directement à la fiole. Son addiction est nettement plus sévère que celle au sucrelune et l'on reconnait ses victimes à leur comportement alternant des états d'euphorie ou léthargiques. Il n'existe pas de méthode naturelle connue pour se guérir de l'addiction au skooma.

Commerce de skooma

Le marché du sucrelune et celui du Skooma sont intimement liés. Il s'est démultiplié en Harypt il y a un peu plus d'un siècle. Ya'Tirrje, le "chat doré", possédait un commerce de drogues qui s'étendait depuis Katapesh jusqu'en Ozoria et opérait fréquemment à l'extérieur des frontières. C'est devenu le plus grand port d'échange. Le sucrelune est présent jusque la côte nord, pourtant fortement influencée par le Royaume d'Eriador, et reste facile à se procurer. Il est abondant en Ozoria où son prix est fixé par les bureaux des potentats locaux. Dans l'Empire de Mahr, vendre ou tenter de vendre du sucrelune est puni par une amende de 3 fois le prix du sucrelune transporté, et l'exécution pour une quantité supérieure à 2 kilos.

Des criminels ont essayé, sans succès, d’en faire pousser sur l’île d'Ealde et jusqu'aux jungles du Grand Continent. En revanche, grâce à d'ingénieux systèmes d'irrigation, les Tabaxis de la Marche de Main d'Argent ont réussi à en cultiver en grandes quantités dans cette région au climat pourtant peu adapté.


Classifié comme narcotique, le skooma a été banni et interdit dans de nombreuses province de Tamriel. Cette interdiction a eu pour conséquences le développement de commerces illégaux menés par des dealers et des criminels. Le marché est florissant et ils revendent leur produit à quiconque en fait la demande. L'exportation de sucrelune est d'ailleurs devenue la majeure source de revenue de la province d'Elsweyr. En terre Khajiit, plus de la moitié de la population du sud du pays est appelée « Dents de Sucre », terme argotique qui désigne les personnes dépendantes à cette drogue. Les Khajiits ont une tolérance innée au skooma et au sucrelune, qu'ils consomment quotidiennement.

Ces réseaux illégaux ont pris de l'ampleur, et les dealers n'hésitent pas à opérer dans les grandes villes comme Faillaise. Cependant, il n'est pas rare que les vendeurs de skooma préfère s'établir dans des lieux tenus secrets comme au repaire de skooma de Bravil en Cyrodiil ou à la Tanière d'Eaurouge en Bordeciel. Si en Morrowind, certaines personnes refuseront de faire affaire avec des marchands qui compte du skooma dans leur inventaire, certains Cyrodiiliens quand à eux, n'hésiteront pas à en vendre ou en acheter.

Il est important de noter que Bordeciel est l'une des provinces de Tamriel où le trafic de skooma est le moins important.

Effets

Des effets positifs sont constatés sur les aptitudes suivantes: force, rapidité et endurance. Les effets secondaires entraînés par la dépendance vont d'une léthargie de longue durée à une crise mineure, jusqu'à la mort.

Utilisation Le skooma peut être utilisé en vaporisant le liquide et en fumant à travers une pipe ou en le buvant sous sa forme liquide.

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L
e nom et la forme de ce végétal sont bien connus de tous. Cette plante aux lumineuses fleurs violettes jaillissant d'un bouquet de feuilles sombres a aussi mauvaise réputation que la Belladone. Longtemps utilisée comme un anesthésiant ou considérée comme l'un des ingrédients essentiels de nombreux poisons, ses fleurs se récoltent sur des plans poussant à proximité de la mort, principalement dans des cimetières ou des cryptes.

Concentrée, elle reste un poison, mais peut aussi être mélangée avec d'autres ingrédients pour un effet relaxant ou assouplir les articulations. Elle est ainsi très prisée par ceux qui souffrent d'arthrite ou souhaitent handicaper leurs adversaires au combat.

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Classifié comme narcotique, le skooma a été banni et interdit dans de nombreuses provinces. Ayant pour conséquences le développement de commerces illégaux menés par des dealers et des criminels. Le marché est florissant et s'étant jusqu'au grand continent.

L'exportation de sucrelune est d'ailleurs devenue la majeure source de revenue de la province d'Elsweyr. En terre Khajiit, plus de la moitié de la population du sud du pays est appelée « Dents de Sucre », terme argotique qui désigne les personnes dépendantes à cette drogue. Les Khajiits ont une tolérance innée au skooma et au sucrelune, qu'ils consomment quotidiennement.

Ces réseaux illégaux ont pris de l'ampleur, et les dealers n'hésitent pas à opérer dans les grandes villes comme Faillaise. Cependant, il n'est pas rare que les vendeurs de skooma préfère s'établir dans des lieux tenus secrets comme au repaire de skooma de Bravil en Cyrodiil ou à la Tanière d'Eaurouge en Bordeciel. Si en Morrowind, certaines personnes refuseront de faire affaire avec des marchands qui compte du skooma dans leur inventaire, certains Cyrodiiliens quand à eux, n'hésiteront pas à en vendre ou en acheter.

Il est important de noter que Bordeciel est l'une des provinces de Tamriel où le trafic de skooma est le moins important.

Des effets positifs sont constatés sur les aptitudes suivantes: force, rapidité et endurance. Les effets secondaires entraînés par la dépendance vont d'une léthargie de longue durée à une crise mineure, jusqu'à la mort. Le skooma peut être utilisé en vaporisant le liquide et en fumant à travers une pipe ou en le buvant sous sa forme liquide.