« Les Félys » : différence entre les versions

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==De bonnes relations==
==De bonnes relations==
Dotés d’une grande faculté d’adaptation et curieux, les Félys s’entendent bien avec presque toutes les races qui font preuve d’une bonne volonté réciproque. Ils s’habituent facilement aux halfelins, aux humains et surtout aux elfes avec qui ils partagent la même nature passionnée, ainsi que le même amour de l'expression artistique et des bonnes histoires ; les communautés elfes prennent garde à ne pas se montrer condescendantes avec leurs amis félins.<br>
Avec l'esprit de communauté et de coopération désintéressée au centre de leur culture, allié à leur facilité d'adaptation aux coutumes des autres races, la plupart des Félys tendent vers des relations bienveillantes. Leur curiosité naturelle et besoin de liberté peuvent cependant être mal perçus ou induire un certain manque de sagesse, qui n'est pas leur plus grande vertu, mais il existe des exceptions.<br>
Les gnomes font des compagnons parfaits pour les Félys, ces derniers appréciant grandement leurs qualités étranges et obsessionnelles.<br>
Les Félys s’entendent généralement bien avec presque toutes les races qui témoignent d’une volonté réciproque. Ils s’intègrent facilement aux halfelins, aux humains et surtout aux elfes avec qui ils partagent la même nature passionnée, ainsi que le même amour de l'expression artistique et des contes ; les communautés elfes considèrent souvent les Félys avec bienveillance sans se montrer condescendants. Les gnomes font des compagnons naturels pour les Félys qui appréciant grandement leurs qualités étranges et obsessionnelles. En raison de leur tempérament changeant, les relations peuvent être plus compliquées avec les nains dont les Félys apprécient pourtant grandement la dévotion à la tâche et la structure hiérarchique.<br>
La nature sauvage des orques suscite autant de perplexité que de répugnance chez les Félys, ces derniers ne comprenant pas leur brutalité et leur propension à l’autodestruction. Les demi-orques, quant à eux, les intriguent, tout particulièrement ceux qui cherchent à atteindre l’excellence et à dépasser la nature délétère et odieuse de leurs farouches semblables.<br>
La nature sauvage des orques suscite autant de perplexité que de répugnance chez les Félys qui ne comprenant pas leur brutalité et leur propension à l’autodestruction. Les demi-orques, en revanche, les intriguent. Tout particulièrement ceux qui visent l’excellence et cherchent à surpasser la nature délétère et odieuse de leurs semblables. Si les Félys tolèrent la nature reptilienne des kobolds dans le respect des limites de chacun, les gobelins et skaven sont souvent considérés comme de la vermine, et méprisés pour leurs tendances grouillantes et pernicieuses.<br>
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Discrets et chasseurs nés, chez les aventuriers, de nombreux Félys officient naturellement comme rôdeurs, roublards ou druides. Si certains préfèrent laisser s'exprimer leur amour pour les arts du spectacle, les légendes Félys parlent d'une riche tradition de grands sorciers, alors que ceux qui intériorisent leur désir d'aventure deviennent souvent magiciens ou moines. La dévotion inébranlable à une cause leur étant étrangère, les cavaliers et justiciers sont rares, sauf en cas de Kedrat. Par contre, leurs inclinaisons s'accordent parfaitement avec les préceptes de Nikadema qui est unanimement reconnu pour être d'origine féline. L'ouverture d'esprit des Félys accepte que l'exploration et la connaissance de soi empruntent de nombreuses voies, professions et modes de vie.


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Version du 1 juin 2024 à 12:13


Félys, Tabaxis, Khajiits ou même Félidés, quel que soit le nom qu’on leur donne et leur apparence aussi variée que leur nature féline, les hommes-chats restent une seule et même espèce dont les diverses branches se distinguent principalement par leur interactions et structures sociales. Celles-ci sont souvent influencées par leur environnement et les spécificités régionales.

Les Félys sont des explorateurs naturels dont la curiosité ne se lasse jamais, mais ils ne se limitent pas à la recherche de nouveaux horizons. Beaucoup considèrent le développement personnel comme une voie tout aussi valable. Bien que la plupart des Félys soient agiles, capables et souvent actifs, certains peuvent manifester une forte tendance à la contemplation silencieuse ou l'étude. Ces individus s'intéressent à trouver de nouvelles solutions à d'anciens problèmes et à remettre en question jusqu'aux certitudes philosophiques les plus inébranlables de leur époque. La culture des Félys ne décourage jamais la curiosité, mais au contraire, la favorise et l'encourage. Beaucoup sont vus comme des extravertis excentriques par les membres d'autres races, mais au sein des tribus Félys, il n'y a aucune gêne liée aux bizarreries, excentricités ou imprudences. Tous les Félys, à l'exception des plus introvertis, aiment être au centre de l'attention, mais jamais au détriment de leur communauté, qu'il s'agisse de celle de naissance ou de celle qu'ils choisissent par les liens d'amitié. Ils ont tendance à être aussi généreux que loyaux envers leur famille que leurs amis.

Certains sages disent que les Félys accompagnent les hommes depuis toujours et qu’ils sont apparus spontanément, un matin d’hiver, de la promiscuité des chats et des humains dans les villes surpeuplées. Ils expliquent par cela que la majorité des Félys seraient citadins et qu’ils n’auraient jamais développé de société propre à leur peuple. Car les Félys sont une race ubiquitaire, qui s’adapte autant aux villes humaines que naines ou aux communautés gnomes ou halfelines. Mais ces sages se rendent rarement dans les jungles profondes du sud où les Félys vivent en petites communautés parfaitement autonomes et loin des yeux des sachants.


Grâce féline

Les Félys sont des humanoïdes généralement sveltes et élancés, d'une taille située entre les nains et les humains. Leur morphologie possède de nombreuses caractéristiques félines, notamment un pelage fin et doux, des pupilles fendues et une queue élégante. Leurs oreilles pointues sont plus arrondies que chez les elfes et ressemblent à celles des chats. En dépit de leurs doigts terminés par de petites griffes rétractiles et acérées, ils manipulent les objets aisément. Ces griffes manquent généralement de puissance mais, de naissance ou par entrainement, certains individus peuvent en faire des armes plus redoutables que leur canines développées. Les cheveux ou moustaches félines ne sont pas rares, mais pas universelles.
Leur pelage, qui ne dépend pas de leur caste, et inversement, est fréquemment hérité de leur parenté et dans une certaine mesure de leur lieu de naissance. Ses nuances ainsi que sa longueur, ou même absence, sont aussi variées que chez les félins, le noir apportant le malheur, mais il s'agit peut-être ici d'une croyance acquise. Selon l'inclinaison des poils, ils sont capables d’en modifier sensiblement le ton. De même, la couleur de leurs yeux en amande varie considérablement.
Leur morphologie est adaptée aux climats chauds où la nourriture est souvent plus légère, et s'il se situent en moyenne entre 25 et 50 kilos, certains Félys tolèrent mal, ou trop bien, l’alimentation humaine et souffrent de surpoids. Sans craindre le froid, ils préfèrent vivement la chaleur, mais des individus isolés assez semblables à des panthères des neiges auraient été rencontrés dans des massifs montagneux.

Agiles et discrets, leur démarche féline leur permet de se déplacer aisément à quatre pattes avec des prédispositions pour l'escalade. S'ils adorent porter des vêtements près du corps, plutôt foncés pour les castes inférieures, ils peuvent être opulents, très colorés et ornés de bijoux pour exprimer le rang social. Enfin, il faut souligner que les Félys sont relativement peu nombreux, vivant principalement dans les jungles, plaines ou en milieu urbain auquel il se sont parfaitement intégrés. Nyctalopes et à l'odorat très développé, en pleine nature, leurs facultés naturelles en font d'excellents chasseurs.

La durée de vie observée d'un Félys est extrêmement variable allant de 40 à environ 250 ans. Si les circonstances le permettent, les années jusqu’à leur majorité constituent un apprentissage en relative liberté pendant lequel ils sont incités à expérimenter leurs inclinaisons, dans la mesure du raisonnable. Ils sont généralement considérés autonomes autour de la quarantaine et peuvent alors s’engager dans une voie choisie après acceptation des sages de cette caste, qui est une notion de grande importance. Chez les peuplades ayant la croissance la plus rapide, la majorité est atteinte dès leur 8ème année.

Esprit de Communauté

Che vous dit que ce n'est pas un tarot de Nichadema !

Si l’expression de l’individualité constitue un aspect important de la culture des Félys, elle est atténuée par un sens profond de la communauté et de l’effort collectif. Dans la nature, les Félys sont un peuple tribal de chasseurs-cueilleurs. La poursuite du pouvoir personnel ne prime jamais sur la santé et le bien-être de la tribu. Plus d’une race a sous-estimé ce peuple en apparence doux pour découvrir bien trop tard que leur cohésion leur confère également une grande force.
Ainsi, Les Félys préfèrent être dirigés par les membres les plus compétents, généralement un conseil de représentants des castes, choisis par leurs pairs, par consensus ou élections. En cas de menace ou de différent entre les castes, ce conseil choisi lui-même un chef temporaire qui a surtout un rôle de médiateur, mais peut diriger la communauté si besoin. Le chef est souvent le membre le plus compétent de la tribu ou doué de pouvoirs magiques.
Les Félys qui s’installent dans des zones plus civilisées, ou urbaines, tendent à conserver une structure tribale similaire, mais considèrent facilement leurs amis extérieurs à la tribu, même ceux d'autres races, comme une partie étendue de leur clan. Au sein d'un groupe d’aventuriers, les Félys qui ne se considèrent pas comme le choix évident pour prendre la place de chef se tournent souvent vers la personne qui se rapproche le plus de leur idéal culturel de dirigeant.

La branche la plus civilisée et facilement observable est celle des Félys dorés. Elle est principalement présente dans le sud et la région centre du Grand Continent, aux alentours de Laëlith. Leur civilisation s’est intégrée à celle des humains où ils officient dans toutes les disciplines de façon très structurée. En dépit de leur instinct individualiste, ils se caractérisent par une morale très rigide. Hormis le grand respect des castes et du rang, ils fondent toutes leurs actions sur un profond code de l'honneur, dont on retrouve les règles dans le livre du Kedrat, grimoire sacré qui est la possession de l'Ezlim-Tschiss, haut dignitaire local, dépositaire de la pensée du Kedrat.
Plus généralement, un Kedrat représente l'obligation, la nécessité d'agir de telle ou telle façon dans une circonstance donnée. Ainsi, un affront fait à un Félys ne peut rester impuni, car il en va alors de son honneur. Gare, alors à l'imprudent, car c'est le clan, ou même toute la caste, qui répondra à l'offense.
Il est cependant à noter que le Kedrat n’intervient généralement qu’en cas de circonstances extrêmement graves ou extraordinaires, mais qu’il lie alors la vie du Félys à l'accomplissement de sa tâche.

Patronymes

Les Félys ont toujours à la fois un nom issu de la race avec laquelle ils cohabitent et un nom Félys fait de sifflements et de raclements, que les humains ont beaucoup de mal à prononcer et à comprendre. Une particule finale définit la caste : ‘sshshr pour loghis, ‘hhssrh pour appentis et ‘rhrrss pour cloaques.

De bonnes relations

Avec l'esprit de communauté et de coopération désintéressée au centre de leur culture, allié à leur facilité d'adaptation aux coutumes des autres races, la plupart des Félys tendent vers des relations bienveillantes. Leur curiosité naturelle et besoin de liberté peuvent cependant être mal perçus ou induire un certain manque de sagesse, qui n'est pas leur plus grande vertu, mais il existe des exceptions.
Les Félys s’entendent généralement bien avec presque toutes les races qui témoignent d’une volonté réciproque. Ils s’intègrent facilement aux halfelins, aux humains et surtout aux elfes avec qui ils partagent la même nature passionnée, ainsi que le même amour de l'expression artistique et des contes ; les communautés elfes considèrent souvent les Félys avec bienveillance sans se montrer condescendants. Les gnomes font des compagnons naturels pour les Félys qui appréciant grandement leurs qualités étranges et obsessionnelles. En raison de leur tempérament changeant, les relations peuvent être plus compliquées avec les nains dont les Félys apprécient pourtant grandement la dévotion à la tâche et la structure hiérarchique.
La nature sauvage des orques suscite autant de perplexité que de répugnance chez les Félys qui ne comprenant pas leur brutalité et leur propension à l’autodestruction. Les demi-orques, en revanche, les intriguent. Tout particulièrement ceux qui visent l’excellence et cherchent à surpasser la nature délétère et odieuse de leurs semblables. Si les Félys tolèrent la nature reptilienne des kobolds dans le respect des limites de chacun, les gobelins et skaven sont souvent considérés comme de la vermine, et méprisés pour leurs tendances grouillantes et pernicieuses.

Discrets et chasseurs nés, chez les aventuriers, de nombreux Félys officient naturellement comme rôdeurs, roublards ou druides. Si certains préfèrent laisser s'exprimer leur amour pour les arts du spectacle, les légendes Félys parlent d'une riche tradition de grands sorciers, alors que ceux qui intériorisent leur désir d'aventure deviennent souvent magiciens ou moines. La dévotion inébranlable à une cause leur étant étrangère, les cavaliers et justiciers sont rares, sauf en cas de Kedrat. Par contre, leurs inclinaisons s'accordent parfaitement avec les préceptes de Nikadema qui est unanimement reconnu pour être d'origine féline. L'ouverture d'esprit des Félys accepte que l'exploration et la connaissance de soi empruntent de nombreuses voies, professions et modes de vie.

Mais...

Blabla...

Ethnies

Félys

Voir ci-dessus

Tabaxis

Tabaxi 0.jpg

A l'inverse des Félys, les Tabaxis forment l'ethnie la plus recluse et sans doute la plus sauvage. Appelés hommes-chats, léopards ou encore jaguariens, ils constituèrent longtemps une race ignorée, à l'organisation clanique, dont les villages perdus au plus profond des forêts primaires de Harypt sont dirigés par les anciens et guidés par des chamanes. Une structure assez semblable à ce qui peut être observé par ailleurs. Ils refusent pour la plupart le contact avec les autres races intelligentes, mais certains tabaxis ont aujourd'hui quitté leur isolement, tant par curiosité que par intérêt, abandonnant leur jungle native et explorant le monde, individuellement ou en groupes.
Leur physiologie est plus imposante, avoisinant les 6-7 pieds, avec une carrure humanoïde svelte et gracieuse pourvue du pelage, des griffes, de la tête et de la queue d'un félin, léopard ou jaguar, selon son origine. Leurs yeux aux pupilles fendues scintillent dans le noir et leur offrent une acuité visuelle supérieure à celle d'un humain, de jour comme de nuit.
Installés souvent dans une jungle ou à ses abords, les clans tabaxis vivent généralement de la chasse ou de la pêche, leur régime étant essentiellement carnivore. Composé d'autant de mâles que de femelles, le clan prend soin de ses anciens et éduque ses jeunes. Cette solidarité s'arrête toutefois strictement au clan : le voyageur égaré sera au mieux éconduit fermement, au pire attaqué dans une embuscade meurtrière. Refusant tout contact avec le monde extérieur comme avec les autres clans, les tabaxis sédentaires sont parmi les plus isolationnistes des races. Seule exception au refus des étrangers : un clan tabaxi approché par un seigneur tabaxi lui fera allégeance sans sourciller, sachant que s'opposer à la volonté de ce puissant prédateur marquerait leur fin à tous, sans exception.

Seigneurs tabaxis

Ces seigneurs tabaxis sont des individus extrêmement rares dont l'ascendance divine ou maudite laisse peu de doutes. Ressemblant bien plus à des bêtes qu'à des humanoïdes, les Seigneurs tabaxi sont des créatures particulièrement intelligentes et cruelles dont le cousinage avec les autres tabaxis est évident. Ce sont de redoutables magiciens, des clercs d'Ezoran ou pire encore : les deux à la fois.
Exclusivement mâles, ces Seigneurs sont généralement mauvais, solitaires et de redoutables adversaires. On en trouve parfois à la tête de clans tabaxis, qu'ils asservissent pour un temps, que ce soit pour profiter de la force d'un groupe, combattre un autre Seigneur ou se reproduire avec une femelle tabaxi, dont la progéniture sera systématiquement un Seigneur. Quand il n'a plus besoin du clan, le Seigneur s'en va immédiatement et souvent définitivement, emportant avec lui son éventuel fils.Hommes-chats venant d'un pays étrange et lointain, les tabaxis sont curieux et affectionnent particulièrement les artefacts et les histoires. Grands voyageurs, les tabaxis restent rarement au même endroit longtemps et aiment à parcourir le monde pour en découvrir toutes les merveilles.


Khajiits

Blabla...