« Age de la Création » : différence entre les versions
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Au commencement, rien que le vide et la nuit,</br> | Au commencement, rien que le vide et la nuit,</br> | ||
Un silence profond, un éternel ennui. | Un silence profond, un éternel ennui.</br> | ||
Dans ce néant, Il se prit à rêver, | Dans ce néant, Il se prit à rêver,</br> | ||
Il, l'Inconnu, en visions se mit à créer. | Il, l'Inconnu, en visions se mit à créer.</br> | ||
Il | Des rêves d'Il, une étincelle jaillit,</br> | ||
Une flamme vive, une clarté inouïe.</br> | |||
Le Chaos surgit, tourbillonnant sans fin,</br> | |||
Naissant de l'énergie, matière et destin.</br> | |||
La lumière apporta l'espoir de la vie, | Il contempla le Chaos, puis doucement,</br> | ||
Il souffla sur la terre, et la verdure s'épanouit. | Modela la terre, les montagnes et les champs.</br> | ||
Les forêts s'étendirent, les prairies fleurirent, | Les mers se rassemblèrent, les rivières chantèrent,</br> | ||
Dans les eaux et sur terre, les premières vies surgirent. | Le feu dans le cœur du monde brûla sans réserve.</br> | ||
Mille ans passèrent dans le sombre mutisme,</br> | |||
Puis Il créa la lumière, la fin de l'abîme.</br> | |||
Les étoiles brillèrent, des joyaux scintillants,</br> | |||
Soleil et Lune illuminèrent le firmament.</br> | |||
La lumière apporta l'espoir de la vie,</br> | |||
Il souffla sur la terre, et la verdure s'épanouit.</br> | |||
Les forêts s'étendirent, les prairies fleurirent,</br> | |||
Dans les eaux et sur terre, les premières vies surgirent.</br> | |||
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Version du 21 mai 2024 à 20:17
Au commencement, rien que le vide et la nuit,
Un silence profond, un éternel ennui.
Dans ce néant, Il se prit à rêver,
Il, l'Inconnu, en visions se mit à créer.
Des rêves d'Il, une étincelle jaillit,
Une flamme vive, une clarté inouïe.
Le Chaos surgit, tourbillonnant sans fin,
Naissant de l'énergie, matière et destin.
Il contempla le Chaos, puis doucement,
Modela la terre, les montagnes et les champs.
Les mers se rassemblèrent, les rivières chantèrent,
Le feu dans le cœur du monde brûla sans réserve.
Mille ans passèrent dans le sombre mutisme,
Puis Il créa la lumière, la fin de l'abîme.
Les étoiles brillèrent, des joyaux scintillants,
Soleil et Lune illuminèrent le firmament.
La lumière apporta l'espoir de la vie,
Il souffla sur la terre, et la verdure s'épanouit.
Les forêts s'étendirent, les prairies fleurirent,
Dans les eaux et sur terre, les premières vies surgirent.
